Mouvement d’humeur à la police : L’Unapol n’est pas l’investigateur

Au conseil des ministres du 6 mars 2019, la question du mouvement d’humeur de la police a été soulevée. Des discussions sont prêts à être entamés mais il n’y a personnes avec qui discuter étant donné que le syndicat de la police nie toute implication dans ce mouvement.

Depuis le lundi 4 mars 2019, les policiers observent un arrêt de travail. Ce mouvement d’humeur est fort remarquable car les activités sont suspendues dans les commissariats, dans la circulation, dans les ambassades … Exposer en conseil des ministres, le ministre de la sécurité Ousséni Compaoré a fait un point de la situation et selon le porte-parole du gouvernement, Rémis Dandjinou, l’Union national de la police, (UNAPOL), syndicat de la police, avec lequel des échanges doivent être entrepris « affirme ne pas être l’investigateur ». Pourtant le gouvernement est ouvert au dialogue « Nous souhaitons connaitre les responsables du mouvement, afin d’échanger avec eux » confirme le ministre Rémis Dandjinou. Il ne manquera pas de lancer un appel aux initiateurs de cette suspension de travail au dialogue afin que les activités reprennent « Ceux qui sont derrière ce mouvement, qu’ils se déclarent pour qu’on puisse aller au dialogue et sauver l’image du pays » déclare-t-il.

Les initiateurs de ce mouvement d’humeur sont donc invités au dialogue pour une reprise des activités.

Soyez le premier à commenter sur "Mouvement d’humeur à la police : L’Unapol n’est pas l’investigateur"

Laissez un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.


*

20 + quatorze =